Bolivie

Copacabana-Isla del sol

(21 Août- 24 Août)

Arrivée en Bolivie par la douane de Kashani ou Maxime a eu droit de payer un peux plus étant donné qu'il a dépasser les 60 jours qui lui ont été donné...

Apparemment ca monte fort en bolivie...

Port de Copacabana ;.)

Isla del sol – La Paz

A Copacabana on se croyait a Cuzco avec plein de gringos partout. La grosse attraction de cette ville est l'Isla del sol et l'Isla de la luna qui sont sur le lac. Du coup on c'est dit que l'on pouvait aller voir ca tant que l'on était là!

Nous voilà le lendemain sur l'Isla del sol. On visite tranquillement l'ile, petite pause bière, ruine par ici, photo de paysage par là, soulagement d'une vingtaine de bolivianos (monnaie de bolivie) pour aller sur la partie nord. Bref, on visite jusqu'à prendre le chemin de là ou on voulait dormir parce que l'on commencait a avoir bien faim! Et c'est la que Mateo (un suisse de Genève) commence a discuter avec nous et en moins de 5 minutes (pour ne pas dire 1 minute) nous prend par les sentiments pour que l'on aille "défoncer des trucs “ (comprennez manger avec entrain)  avec lui là où il campe. Il était avec Heidy, Sebastian ( le fils de Heidy), Cecilia et Limbert qui malgré leur noms sont tous boliviens.

Le soir ils nous proposent d'aller avec eux à la Paz pour faire la fête le lendemain. Après une grosse réflexion de moins d’une minute on a décider de les suivre. Le problème était de faire 120 km en une journée en vélo! Et bah, on a pas mis longtemps a trouver la solution. Tu mets ton vélo sur le toit d'un bus et tu arrives à faire 120 km en 3h :D. Tu n'est pas obligé de faire 12 h de vélo comme d'autre le ferais :).

Durant le trajet, il y a un endroit ou il faut traverser le lac avec des barques. Et sincèrement tu as la pression que ton bus tombe à l'eau (surtout sachant que ça arrive!).  Voir photo.

Nous voilà à la paz pour une petite soirée a danser bolivien jusqu'à l'aube. Mateo nous a trouvé un logement. En fait, il y a deux appartements dans le même immeuble et c'est a nous de choisir lequel on voulait!

Du coup nous voilà actuellement à la Paz ou on s'organise pour faire des trucs. Genre rando, escalade, VTT de descente, montagne etc... (enfin bourriner quoi)

Théoriquement on va reprendre le vélo d'ici un mois!

Aller pour l'Isla del sol (Titicaca) 

Et voilà pas qu'on se fait encore inviter a manger, quelle fâcheuse habitude...

De la cuisine traditionnelle, avec des boliviens, le tout sur une île remplie de restos pour touristes.

merci mateo

Je ne sais pas si c'était comme ca au temps des jesuites , mais ca semble un peu moins glauque que d'habitude...

Bénédiction d'une voiture

Du coup, on nous propose une fiesta a la Paz, alors on suit mais en bus pour la première fois.

Détroit de Ticina, observez bien les bacs dans lesquelles les bus et autres véhicules sont transportés.
observer aussi le petit moteur de 30 cheveaux.
Ce jour la il y a eu du vent, un bus était proche de tomber a l'eau, impresionnant !!!
Ils sont fous ces boliviens.

Statue politiquement incorrecte en Europe...

La Paz et ses environs

(25 Août- 7 Octobre)

Directement a pres être arrivé, on va manger et danser a "La Gota de Agua", un espèce de bar-discothèque on on passe que de la musique traditionnelle et ou on picole bien.A faire absolument en fin de semaine.

Montée a la Cumbre sur les hauteurs de la Paz. La neige persite sur les hauteurs proches de la Paz. du coup beaucoup de Pacenos monte profiter de la neige et même ils en ramène un peu. ce jour la on a dù voir une centaines de bagnoles avec des bonshommes plus ou moins dangereux.

Avertissement sans équivoque aux voleurs (La Paz)

La Cumbre au coucher du soleil

La Paz

Bus Dodge, un certain cachet !

A cinq sur la banquette arrière du taxi...

Huayna Potosi depuis l'aéroport

L'Illimami dominant la Paz

Rituel pour Pachamama.
Para que te vaya bien jackie

Ascension du Huayna Potosi (6 septembre)

En se levant à 1H du mat, tu as le temps de faire plein de truc dans ta journée.

(Une découverte pour Maxime...)

 Dans la journée du 6 septembre on arrive au premier camp de base à 4800m en voiture après avoir réglé les dernières mémerdes (location de matos, bouffe etc...) 

 Après un petit café, on démarre la marche de deux heures pour le camp de base a 5137m. Franchement, Matheo m'a vendu du rêve à picoler du Singani tout le long du trajet. Un arrêt, ils ouvrent des bières, bref parfait comme préparation á l'altitude. Au second refuge, on traine pas a monter les tentes et réchauffer le gratin dauphinois et le boeuf bourguignon de la veille :D. J'ai pu dormir un peu mais je me faisais souvent réveillé par un mal de tête dû a l'altitude et je crois que Jérem a pas fermé l'oeil à cause du boeuf qui lui est rester sur le bide.

Réveil 1H du mat, départ 3h. On a pas mal trainer a se préparer et puis boire un dernier thé :). Perso la tête allait mieu au reveil!
Le début de la montée était bien sympa, on voyait la paz briller au loin, on avançait tranquillement dans la nuit profonde et sur une neige tassée.
Il ne faisait pas trop froid et le mal de tête était pas gênant. Jérem lui était toujours retourné avec le boeuf.
 Au levé du soleil il allait mieux alors que moi c'est la ou j'ai commencé a souffrir. A ce moment on devait être a 6000m le sommet était juste la au dessus a 100, 200m de D+ mais j'avais beaucoup de mal a récupérer mon soufle et le mal de crâne se faisait insistant. Limbert aussi commencais a tiré la tête mais lui c'était un problème de genous qui le faisait souffrir. 

J'ai rien dit, lui non plus, de toute facon lui comme moi comme jérem on était un peu tête dans le guidon a se concentré a chaque fois pour réussir a mettre son pied quelques centimètres plus loin que le pied précédent! Après un passage un peu plus engagé on arrive enfin au sommet. Du fait de mon état, je trouve que je n'ai pas pus en profiter comme il se doit. C'était la lutte juste pour sortir mon appareil photo. C'était quand même magnifique. Il nous a fallut 5H pour arrivée au sommet après 950 de D+ alors qu'au niveau de la mer, il ne faut pas plus de 2H.

De retour au refuge de 5100m, perso, j'était mort et j'ai laissé jérem faire tout le boulot (ranger la tente etc...) Par contre dans la descente pour l'autre refuge, j'ai retrouvé ma tête et, du coup, je me suis mis a dire plein de merde au point que jérem m'a demandé de retourner à 6000m parce que j'étais plus calme là haut.

Avant de descendre du refuge de 5100m, on a pas mal échangé avec les proprios du refuge, on leur a fait goûter le boeuf, montrer notre rechaud (en canette de bière). Du coup il nous on rien fait payé pour les thés et les soupes que l'on avait pris. C'était vraiment bonne enfant. 

Ensuite on est rentré et puis on a dormi.

grosse préparation mentale...

Montée au refuge 5130m
Super Limbert : 15kg devant et 20kg derrière et avec le sourire s'il vous plait!!

Tout grand sportif pense a son foie

Repos en tente au pied du refuge

Depart vers 3h puis première pause au campo argentino

Pablo en bas a droite et Limbert nous ont bien trainer... Muchas Gracias

On voit le bout, qui l'eu cru !!

La cumbre del Huayna!!

Pour une fois, c'est pas a cause de l'alcool qu'on tire la gueule...

La Paz depuis l'appart ou on logeait

Visite a Coroico en un jour depuis La Paz

Il fait un peu gris, Maxime fais des crêpes pour 15,on est 2...

on a bien mangé, 36 heures apres elles ont toutes disparues.

Entre temps, Gladys nous prépare une salade de fruit...

Maxime guette la gueule de déterré du matin, il s'avoue un peu decu en voyant ca.

petit dej tot le matin

Curahuara de Carangas et parc national Sajama

(10-17 septembre)

Curahuara de Carangas : Visite du compadre de mateo, grimpette

Maison du compadre ou le chuño sèche au soleil (patates sechées puis congelés pour une conservation sur plusieurs années !!)

Raclette avec le compadre et sa famille

Le gros Sajama, point culminant de bolivie

Sources chaudes

juste pour les coupes de cheveux...

Soiree "Te con Te" a 6 dans une chambre pour 4

On rentre a Oruro et on passe un jour ou deux chez mateo dans son café, la Llama enojada qui est en face de la gare. On passe une excellente soirée. le concert qu'on voulait voir etait la veille donc ils ont acheter plein de caisse de biere et il ont sortie leurs flutes , Zampoña et autre tambour dans l'appart du mateo.

Retour a la paz, 18 septembre

OOOUUUUUAAAAAAAAAAAAAIIIIIS!    VAS-Y RAMBO!!!!

Découverte du rasoir, ca nous reussi pas tant

 TIWANAKU

 (1 Octobre)

Seconde tentative pour aller en mini avec le locaux au site du Tihuanacu et quasi second échec a écouter tout le classic que maxime avait : Beethoven, Schuman , Schubert, tchaikovski.... jusque que je dise au type de me rendre la tune vu qu'il ne partait pas. Et là, on est partis a vide mais le type a fait le plein juste après a l'alto en gueulant debout sur le toit pendant 20min.

Et oui la règle du mini en bolivie, il part que quant il est plein! normal!

Statue del CHE a l'Alto, bien 10m de haut

Rurrenabaque et parc Madidi

(3-9 octobre)

Arrêt a Coroico une nouvelle fois sur la route de Rurrenabaque 18 heures de bus au total dont les 14 dernières sur une piste, ca secoue!

Descente magnifique a pied pour aller choper le bus suivant.

Arrivée a Rurre de bon matin le 4 septembre, on y passe la journée 

Lendemain, départ pour un tour touristisque de trois jour dans la forêt, on commence part deux heures de bateau.

Première nuit on marche une heure ou deux et on campe. 

Petite cérémonie et explications de leurs croyances auxquelles on a plus ou moins adhérer.

Mais bon on s'est mieux compris ensuite en buvant des verres

a base d'alcool potable 96º dilue avec eau, sucre et citron.

puis d'autres

La suite, sans commentaires...

Comme si de rien était, on fais nos activités découverte de la jungle.

Seulement, durant les 4 min de preparation de ce magnifique porte bouteille, jerem s'est endormi debout.

Enorme tarantule toute floute

On égorge le cochon avant de cuire à la broche

On va pécher avec les types de l'agence dans un endroit qu'il ne connaissent pas a 45min de moto.

Petite balade sur les hauteurs de Rurre

Et nous revoici a la Paz, au resto l'Alaya ou on mange tellement gras et tellement typique qu'on est toujours les seuls deux blancs.On y reste 1 jours ou deux avant de bouger a Cochabamaba en bus.

 Torotoro, La grosse bavante

(13 octobre-20 octobre)

Cochabamba ->Torotoro (3jours)
Torotoro -> Sacaca (4 jours)

1 jours de repos/visite a Torotoro et retour en bus a Oruro depuis Sacaca

On avait prévu au début de partir le 11 octobre mais la veille en revenant de Rurre (la Jungle), Limbert était à La Paz et nous dit "escalade demain?" ... Bon on est parti un jour après.

Après une journée de bus, nous voila de retour sur les vélo le 13 octobre après un bon moment sans avoir touché les bici.

Le premier jour a été le jour des retrouvailles, on avait oublier que l'on avait un rôle de président sur la bici, on salut tout le monde, tout le monde nous salut!
Retrouvaille aussi avec les distances que nous annoncent les habitants, complètement a côté de la plaque, mais pour une fois la personne nous a annoncé plus que la réalité (35 km au lieu de 8km)!
Retrouvaille aussi avec les efforts, la fatigue, le mal de fesse et les gentils chiens, enfin surtout avec les moins gentils!

Aussi retrouvaille avec le fait de chercher un campement, c'est peu être ça le plus ingra du voyage, une fois que tu estimes avoir bien roulé, tu cherches à te poser, mais non, là oú tu es il n'y a aucun emplacement pour poser la tente et devant toi une grosse montée!

A ce moment un peu deseperer, j'entends Maxime derriere moi qui me double et essaye de se motiver en disant : "Oouuaaaaiiiis, bourriner!" avec une voix de papi fatigué. Du miel a mes oreilles comme dise certains! Du coup , ca m'a motivé aussi! 

La seconde journée a été marqué par une chute, la plus belle du voyage pour le moment, en fin de descente alors que j'essayais d'aller le plus vite possible pour avoir moins a pédaler sur la montée d'en face, sur un trou mon porte bagage avant m'a laché et je me suis littéralement éclater par terre! A part des égratignures, il y a pas eu de mal. Mais on se retrouve tout de même avec un porte bagage de moins ce qui pose ses problème. Finalement, on a pu mettre toute mes affaires lourdes sur mon portes bagages arrière et j'ai refilé quelques mémerde volumineuse à Jérem (Duvet, porte-bagage, bassine pour cuisiner).

Cet évènement c'est passé juste avant Anzaldo et à partir de Anzaldo on a dit au revoir a l'asphalte pour trouver de la route pavé ou des chemin de terre... Jusqu'a Oruro! Et ba sa fait mal au dos et au cul!

Le lendemain (15 octobre) on a fait la Viña -> Torotoro en 5H ce qui représente 35km. Le début du chemin était plus ou moins les montagnes russes, c'était chouette, on a vu quelques péroquets et beaucoup de couleurs. La fin du chemin c'était juste la montagne, et la route pavé, ça n'aide vraiment pas a avancé!

Petite annecdote qui n'a rien a voir mais ici le climat pour faire pousser les citrons est entre 2000 et 3000m Du coup, tu comprend mieux pouquoi quasiment tout le vin voir l'alcool de bolivie vient de Tarija qui est a 1854m

Bon nous voila a Torotoro, et qu'est-ce que tu fais après 5H de vélo sans manger et que t'est crevé? Ba tu commence par défoncer un gros plat, puis un deuxième et puis, jamais deux sans trois. Et après ça, bah, tu va te coucher... LOL, non tu rencontre deux barbus et tu picoles! En même temps, ils ne connaissaient pas le "te con te", il fallait bien les inicier! (te con te : eau chaude, thé, canelle, cloux de girofle, singani, sucre. Si tu as que du singani, de l'eau et du thé ça le fait aussi! Le singani  est un alcool bolivien issue de la distillation du raisin a 50%, (une mauvaise grappa quoi, mais ne le dites a personne...)

Le lendemain on a passer la journée a visiter des trucs avec les deux francais et un couple de boliviano-brésilien . Bon voila, allez voir les photos (grotte, traçes de dinos, beaux paysages). Pendant la visite moi comme jérem, on avait les jambes super lourdes et on arrivait pas a suivre le guide :D. Le gros inconvénient de cette journée c'est que l'on a vu la route que l'on devait faire le lendemain en vélo...

Une grosse montée de 30km, on en a chier notre race, c'était vraiment du gros bourinage avec certaines pentes ou physiquement tu était très clairement au max pour avoir assez de vitesse pour garder l'équilibre (4km/h). Après, les paysages était vraiment magnifiques mais on a plus vu notre roue que les paysages!

Une fois cette montée faite, on pensais que ça descendait tranquillement jusque San Pedro. Mais lorsque l'on a compris après une bonne descente que l'on devait faire une autre montée, mentalement ça nous a détruit et on a planté la tente la ou on était, a l'arrache (cf photo).de plus il etait deja bien tard 17h.Mais derière on a eu une petite récompense avec un sacré coucher de soleil!

Le lendemain matin on manquait d'eau car Jerem a perdu une bouteille dans la descente de la veille, du coup, il se dévoue pour aller chercher de l'eau dans le village d'a coté, mais il savait pas encore qu'il aurai a donner de sa personne! Déjà en arrivant dans le village une dame dit au enfant de rentré chez eux... Un gringo arrive! 

Il trouve tout de même quelqu'un pour demande de l'eau et la personne lui donne un verre a moitier rempli pour l'inviter, Jérémy naïvement boit en pensant que c'était de l'eau et ba non a shot d'alcool fort voir pur a 8H du mat again! Il a du en boire un autre avec une autre personne car sa semblais vraiment IMPORTANT! Et il est revenu au camp avec de l'eau et un peu bourré :D

Après avoir quitter Torotoro, le plus gros problème a été de trouver des magasins ou ils vendent de la bouffe.
On peux micropuré de l'eau c'est pas un problème si on demende aux habitants, voir la faire bouillir mais la nourriture c'est autre chose et on pensais pas que en 2 jours de vélo, on allait pas croisé un seul magasin! C'est faux, à la fin du deuxième jours on a trouver une tienda qui ne vendait pas de pâtes, de pain, de riz et pas d'eau potable non plus, juste quelques gateaux sec, des boissons gazeuses et des sardines en boite du Chili. Du coup ensuite, on a mangé des sardines en boite du Chili a tout les repas...

La veille d'arriver au bout, on a un peu craqué mentalement, voici quelques phrases sorti du cahier:
(toutes nos excuse au jean-qqch)

 - Jean pierre, pourquoi il fond des routes toujours au sommet de la montagne?

 - Je titube mais je comprend pas, j'ai pas bu et mon vélo non plus! (on titubais du fait de la vitesse lente)

 - OH non! Encore une montagne!

 - Dit Jean claude tu crois qu'une route peu allé plus haut que le sommet de la montagne sur laquel elle est?
 - Et bah oui Jean Marc, une montagne peu en cacher une autre!

Le dernier jours (20octobre) a été un gros dernier effort et on a pu prendre le bus a 16H pour Oruro. Bien sur on était fin raid. Et on fait quoi quand on est fin raid? Et ba on prend une cuite! Je dois avoué qu'il on été bon pour nous sortir parce que c'était tout de même dur, perso j'avais qu'une envie c'est de dormir!

Petit truc qui n'a rien a voir aussi, lorsque l'on est sur le vélo, a 16,17H on s'arrête et on va au lit avec les poule, c'est rare que l'on ne soit pas endormi a 20H. Une fois que le soleil n'est plus la on a rien a faire!

Aujourd'hui (22 octobre) viste de la mine de Oruro. C'était très intéressent mais la chose qui m'a surpris le plus c'est qu'il ne vénère ni dieu, ni la Pacha mama mais "el tio" le diable, il y a des statut de lui un peu partout et tout les jours, tout les mineurs lui donne un peu de coca, d'alcool et des clopes! Il lui parle aussi comme si c'est leur pote!

Le baudrier de Limbert,de fabrication US, en ceinture de securité s'avère douloureux. je suis content que Maxime le porte cette fois ;.)

Il m'a dit qu'il verifierais si le materiel fonctionne toujours apres cette sortie...

lac de barrage pres de Cocha avec plein de resto de poiscailles tout le long.

oups!!

!!

Anzaldo :
Chute bien propre de Maxime sur un pont. Son porte bagage casse en arrivant a toute vitesse sur un pont a une voie, le désequilibre et le fais se ramasser, mais bien...
Vous inquieter pas, le type a tellement l'habitude te tomber qui s'est a peine égratigner!
Du coup il faut revoir l'organisation car ça se casse la gueule, avec le tout a l'arriere.




on voit si on peut faire souder le porte bagage de Max.
mais suite a une mauvaise experience en afrique il est méfiant et on continue comme ca.

On se fait rincer pour la premiere fois

puis on arrive sec a la Viña, car le soleil revient

Descente magnifique et haute en couleurs (Anzaldo-La viña)

Arrivée à la Viña on en profite pour manger vers 16h, du coup on fait le repas de midi et celui du soir a 20min d'intervalle.

PHOTO VINA

En plus des perruches, il y a même de ces gros perroquets, surpris car c'est plutot sec dans le coin!

La montée pour arriver à Toro-Toro se fait toujours sur cette foutue route pavée de pierre.

La "gaterie" d'en haut de la montée.

Le site de cuidad de Itlas sur les hauteurs de Toro-Toro

Thomas et Remi, les barbus!! Ils voyagent 6 mois en amerique du sud avant de faire un stage de fin d'etudes a Bogota, pas degeu ...

 

petit tour dans une grande cave sans pinard, un peu decu...

Bon maintenant, je pense que vous êtes près:
 Non, Maxime ne s'est pas mis au tuning, ce truc rouge c'est pour proteger la casserole et le bruleur quand on cuisine.

Jerem prépare nonchalamment un spot pour poser une tente.

Et oui, on a poussé a Toro-Toro!!

Oups!! Où est partie la route?

Ah, la voilà!

Le jour, où on s'est fié a une flèche bleue et a des hieroglyphes!
On a pris la bonne finalement.

Auto-portrait en plein effort...

Campement près de la mine d'Or de Malku Khota.

Bien fatigué, après 6 heures de vélo et 4 heures de bus et un repas, on se fait embarqué par nos amis pour boire des verres. Vu nos gueules aprés manger, on aurait peut être du refuser...